Il a été tiré de « La longue lampe du silence », 50 exemplaires numérotés, ornés par Matei Popovici
Liberté :
Un jour, n’y tenant plus, j’ai largué les amarres
Et soufflant sur les rimes me suis éloignée
Du pas de mes ancêtres. Puis j’ai empoigné
Le chant de mon futur et lui ai dit : JE PARS
(vers d’autres rives, plus prosaïques)
Et j’ai pénétré ma musique.
Recueil disponible chez l’auteure