La femme:
Je suis la fée, le feu, la femme
Le reste des mers englouties
Par la douce ironie des flammes.
Je suis le temps qui est parti
Pour ne pas qu’on le prenne au piège.
Je me promène dans les neiges
De ton sourire et de tes yeux
Je suis le ciel lorsque ses jeux
Peignent le vent sur ton visage
Et je balade sur ta peau
Les arabesques des nuages
Et le soleil comme un drapeau.
Recueil disponible chez l’auteure